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Les propositions concernant la réforme de la dépendance viennent de toutes parts. La dernière en date provient du MEDEF qui suggère 20 initiatives
L'oragnisation patronale souhaite un partenariat public-privée pour le financement de le dépendance
Pour Laurence Parisot, qui dirige l'organisation patronale, la réforme « devra être animée par un esprit de cohésion sociale conciliant solidarité, innovation et responsabilité ». Mais elle estime également qu' « il serait tout à fait dangereux pour l'équilibre financier de créer une 5e branche de la Sécurité sociale ».
Le MEDEF opte pour un partenariat public-privé moderne qui aboutirait à un système à deux étages. Au premier étage, il y aurait un socle de solidarité maintenu à l'attention des personnes aux revenus modestes. Au deuxième étage, un mécanisme d'assurance obligatoire serait installé pour le reste de la population.
Selon Laurence Prisot, l'obligation de s'assurer individuellement est primordiale. C'est ce qui permettra de faibles montants de primes et une sélection des personnes selon les risques plus faible. Le MEDEF préconise également la mise en place d'un label public qui permettrait de de standardiser l'offre et de rendre les garanties plus lisibles. Le montant des rentes versées serait calculé en fonction du niveau de dépendance. Pour faciliter l'accès des plus modestes à ces assurance, l'organisation patronale souhaite l'instauration d'une aide publique à la souscription. Le dispositif devrait être mis en place dans les meilleurs délais afin de constituer des réserves suffisantes d'ici à 2030.
Si le gouvernement optait pour la solidarité nationale, le MEDEF déconseille à l'Etat de solliciter les entreprises et le travail. Il préfère la piste d'une hausse du taux de CSG réduit dont bénéficient les retraités à l'instauration d'une seconde journée de solidarité.
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